Ce weekend, les températures sont (enfin!) remontées, nous apportant un avant goût d’été.
Nous en avons donc profité aujourd’hui pour ranger les manteaux et manger en terrasse avec nos starlettes poupées!
Une belle journée, remplie de douceur, de câlins et de bisous.
En bref, une journée en famille comme on les aime et dont il est difficile de se passer!
Happiness !! (dans toute sa splendeur… et c’est contagieux !)
Sur la 9ème photo, je trouve qu’on imagine tout à fait la tête d’Elea plus âgée (genre ado)… j’adore !
Et oui, tu fais tjs de trop belles photos, pourrais-tu me donner ton secret ? (quel appareil, sachant que je suis allergique aux notices, et qu’il me faut un truc simple qui s’auto-règle ? :P )
Cela depend des photos. Parfois mon i-phone, parfois mon reflex que je mets en mode manuel :-).
Fixer la joie de vivre, est une possibilité que nombre d’entre nous banalise désormais avec des outils de plus en plus performants.
Et ce jour, à la vue de ces clichés qui la cerne au plus près, je réalise que ceci est récent dans l’histoire de l’humanité.
En revisitant dans vos mémoires les instantanés des peintres, qui étaient seuls capables de livrer des “photographies”, il n’est pas simple de la voir de près.
Il a fallu des milliers d’années pour que les peintres s’autorisent à tenter de la représenter, et la fin des thèmes mythologiques, traditionnels, historiques (et trop souvent belligérants!), et religieux, ne date pas de loin.
Au mois d’Août 1946, Picasso qui résidait à Golfe-Juan avec Françoise Gilot, sa jeune compagne., va livrer sa “photo” de la joie de vivre, en dessinant des scènes mythologiques, avec des faunes, des centaures et des nymphes. Matisse avait tenté 40 ans avant de la cerner avec… des poupées gonflables !
Chérie tu démodes ces peintres, avec tes toiles photographiques. C qui nous invitent à la célébrer !